Alors voilà. Voilà un bout de la bande-son de la supervision à Paris 2, l'autre soir.
Et un thème de cette séance-là – "Un peu comme une glace sans tain" –, c'était sur ce qui se rate, ce qui se manque quand l'inconscient prend les commandes en coaching. Et ça arrive souvent ça, quoi qu'on dise quoi qu'on fasse, parce qu'il est toujours là l'inconscient. Il fait un bruit de fond et il ne rate jamais son coup.
Et c'est pour ça que c'est important, je trouve, une supervision d'inspiration analytique (enfin, une supervision où on peut tout simplement mélanger le passé et le présent, le perso et le pro, le qu'en-dira-t-on et le pulsionnel, comme dans la vie quoi… et alors démêler un peu tout ça).
Donc, voilà un extrait sur ce thème. Et attention, ça peut choquer les âmes sensibles parce que c'est plein de contre-transfert et de transfert en direct. Et, en même temps, ça s'accroche et se dénoue, au contact et au fil du travail, dans l'intime en petit groupe et puis retour en plénière.
J'ai pris des nouvelles de l'étudiante, elle va bien et elle est d'accord pour que je partage. Et moi j'ai pris soin d'aller voir pourquoi j'ai encore eu besoin de lâcher un crapaud ce soir-là en séance.
C'est là, sur SoundCloud.