Je pourrais lancer le magnéto juste avant d'entrer, j'ai imaginé. Ou bien discrètement, quand je m'allonge ?!
C'est l'idée qui m'est venue l'autre matin, au réveil. Enregistrer ce que je raconte sur le divan et, après ça, en prélever un échantillon. Parce que depuis la fin de l'été, je n'ai plus trop de farces et attrapes, plus de « nouvelles de l'inconscient » à raconter. Ces histoires du quotidien à double sens. Oui, quand ce qui nous semble anodin, mais qui soudain nous accroche, en dit long sur nos tiraillements intimes, nos fixations, nos impasses préférées. Comme si je ne captais plus cette fréquence-là hélas.