Groupes Balint, thérapie familiale, co-thérapie… Derrière la glace sans tain ou à mains nues, nos ainés les psys le savent bien et nous ont montré le chemin : pour plonger dans la complexité des relations et danser avec le chaos, pour sortir des crises et créer du nouveau, mieux vaut être deux que tout seul.
Et c'est sur ces chemins-là que, tout doucement, pas à pas, de confrontations en ajustements créateurs, on aime aller Eva et moi : twin-coaching, supervision à la carte, coaching des communautés, Mars & Vénus sur le divan…
En partage ici l'extrait d'une proposition.
J'aime animer l'Atelier de l'Art-de-Changer comme un espace de création, un trampoline grand ouvert à la singularité et à l'art de ceux que j'accompagne : Catherine, Boris, Isabelle…
Et aujourd'hui, sur ce toboggan en bord de ciel, il y a Agnès Parent de Curzon qui nous invite à la rejoindre pour plonger dans nos paysages intérieurs et tisser le fil de nos envies irrépressibles ; par le détour des métaphores et sans trop de retenue alors.
Dans sa vie d'avant, Agnès était médecin des yeux et aujourd'hui elle aime prendre soin de ce que, entre nos cils, au fond des yeux, nous aimons dessiner, rêver et repousser parfois.
Alors, si vous aussi vous aimez voyager, venez comme vous êtes. Ce sera le mardi 22 janvier 2013 et sous les étoiles.
Guerre des sexes ou danse des polarités, rapports de force ou désir de parité, cohabitation passive ou alliance créatrice… Les relations que nous aimons tisser entre féminin et masculin prennent leurs sources tout à la fois dans nos histoires familières et de jadis (le couple parental, la fratrie, la cour d'école…) et dans notre imaginaire collectif (ainsi, par exemple, « le totem masculin » et « l'éternel féminin »).
Tout cela agite en profondeur, et à notre insu souvent, notre manière d'aller dans le monde, d'accompagner nos clients et de nous développer (sous-traitance, partenariat, co-animation…).
Alors ce sont ces histoires-là et cet imaginaire intime que nous aimerons mettre à jour, explorer et détricoter dans cet atelier animé aussi au féminin-masculin.
Émois et confusion, plaisir et agacements, surprises et frustrations… Première supervision en groupe, hier soir, pour la nouvelle promo du Master 2 Coaching à Paris II. Dixième édition d'un cursus créé par Thierry Chavel et Franck Bournois.
Plongée sans chichis ni préambules avec les trente étudiants, au cœur du métier, aux origines, entre coaching et psychanalyse.
En partage ici le fil d'Ariane de cet atelier.
Au sortir des écoles maternelle et enfantine du coaching, lâchez enfin les formations et n'attendez pas de trouver des premiers clients ou de vous fourvoyer dans des impasses pour venir en supervision.
Eva Matesanz et moi créons un groupe de supervision ouvert et à la carte, sensible et créatif, didactique et expérientiel.
C'était un jour de l'été entre les nuages ; ces experts-là sont les agents de philisophes et de stratèges et ils voulaient nous entendre, Eva et moi, pour animer des conférences. Alors, plutôt que babiller ou papoter, on a aimé réunir pour l'occasion des entrepreneurs et pratiquer avec eux notre art du coaching tribal. C'était si bien, qu'à la rentrée, nous créons un trampoline pour les entrepreneurs.
En partage ici quelques pixels et décibels de l'instant.
Sur les sentiers buissonniers de notre métier, une autre création singulière que j'ai aimé expérimenter et que je partage ici à l'envi : un cocktail soigneusement préparé par Catherine CHAVIGNY qui nous invite à prendre le détour de l'argile pour se rencontrer soi, danser avec la joie de créer. Une joie simple et enfantine, profonde et confiante. En séance et dans la vie.
Question professionnelle ou existentielle, histoire d'amour ou d'anamour, envie de tout comme de rien, coach ou thérapeute, manager ou saltimbanque, garçon ou fille, timide ou téméraire…
Offrez vous un coaching en duo avec Stéphane Einhorn et moi.
Vous avez en poche votre diplôme de coach et vous payez chaque année votre obole à une institution spécialisée. Un peu hagard et dépité, vous allez de séminaires en formations du peuple coach, et vous répondez aux appels d'offres que vous savez perdus d'avance.
Sous-traitant résigné ou indépendant plein d'espoir, bénévole ou mégalo, vous tirez – un peu, beaucoup, passionnément – le diable par la queue, et vous rêvez de poser un jour votre plaque dans un quartier chic ou à la campagne. Mais, tout au fond de vous, vous vous sentez souvent à côté de la plaque.
Des bancs des écoles maternelles du coaching vers le bord de ciel et puis le monde, l'Atelier de l'Art-de-Changer c'est aussi un trampoline pour des coachs amis, artistes, psys ou chamans en devenir, entrepreneurs et encore un peu vagabonds…
Boris m'avait demandé de lui ouvrir l'atelier - Oh ! juste le temps d'un après-midi d'hiver - pour tester sa création du moment : un atelier à fleur de sens.
J'ai aimé me laisser faire, jouer avec ses cartes d'ange, fermer les yeux, gouter alors et avec d'autres son talent guérisseur.
Un pas plus loin et de ses propres ailes, j'aime relayer ici son invitation à vous faire tourner en créativité et en tous sens. Ce sera le 26 avril prochain.
Les vols au départ du bord de ciel n'étaient jusqu'alors que des longs courriers : du point du jour à la tombée de la nuit, destinations délicieusement vagabondes, sulfureuses et réservées au peuple coach : démons, colère, luxure et autres péchés capitaux…
Le jour du printemps l'atelier s'ouvre à l'inédit : à l'heure du thé, chaque mois, embarquement pour des escales intimes et de toujours : la vie, ses folies, l'amour, la finitude…
En duo avec Eva Matesanz, et sans souci d'appartenance à une tribu, coach, manager, RH…
Après bientôt trois années de travail en bord de ciel et d'abysse, elle est repue de nos séances et de moi. Elle en a marre aussi de tous ces coachs, de tous ces psys, qui supervisent et qui crânent dans les écoles et les fédés, dans les "grands livres" et sur le web.
Alors, plutôt que gémir et maudire, ici et à l'entour, encore et à jamais, j'aime l'inviter à danser avec son désir :
- Et si demain, pour vous accompagner, cet autre n'était ni coach ni psy ?
Par dessus le grillage, mon voisin médecin me hèle :
- Dites, au fait, c'est quand le jour des monstres ?
- Le 6 octobre à l'atelier, lui dis-je, du tac au tac.
À son regard, je comprends mais un peu tard qu'il parle de la journée des encombrants !
Un atelier qui prend ses sources dans les chemins de traverse :
* Le combat thérapeutique, Gérard SALEM. Armand Colin. 2ème édition. Mai 2011
* Psychanalyse des passions en entreprise, Roland BRUNNER. Editions Eyrolles. Juillet 2009.