Désir d'amitié ou de tendresse, élan amoureux ou agressif, mouvement secret ou partagé… De la première rencontre jusqu'à la clôture, les jeux transférentiels s'invitent en séance et animent en profondeur la relation entre le client et son coach.
Pourtant, bien souvent, le coach laisse à distance ou dans l'ombre cette matière précieuse et source de changement lorsqu'elle est mise au travail. À distance, par peur sans doute de ce qui surgit en lui et se trouble alors.
Et dans l'ombre, par interdit peut-être ; car le désir est souvent réduit à la séduction ou la sexualité et il reste un tabou en coaching. Ainsi, rares sont les écoles pour comprendre ces élans ou ces répétitions familières qui parlent de défenses ou de conflits, d'histoires inachevées et de besoins essentiels du client.
Rares aussi sont les espaces pour s'initier à l'art de démêler ce qui se joue au fond de soi et en coulisse, contagion émotionnelle ou éveil d'une mémoire ancienne.
Alors, comment être à l'écoute de ces jeux implicites ?
Quel cadre pour les mettre en mouvement et ainsi les dénouer avec chaque client ?
Jusqu'où nommer et utiliser ses résonances personnelles dans ce travail ?
Si ces thèmes font écho à vos envies de l'automne, Marie-Pascale MARTORELL et moi vous invitons à un nouvel atelier en duo, le mercredi 8 décembre après-midi, loin des tabous.
Plaisir de partager ici l'invitation à une autre série d'ateliers inédits, conçus et animés par des amis, coachs, psychothérapeutes et superviseurs de la communauté Trajectives :
« Souvent, pour se différencier, le coaching et la psychothérapie sont présentés de façon très différenciée, comme deux mondes qui n'auraient rien à voir ensemble. Or, parce que nous nous sommes formés à ces deux pratiques, nous sommes convaincus du contraire et notre expérience de praticiens nous permet de profiter de la richesse de l'un pour professionnaliser l'autre. Nous pensons donc intéressant de partager nos expériences et de vous donner l'opportunité de profiter du savoir et des recherches de pointe qui existent dans l'accompagnement thérapeutique pour enrichir votre posture de coach. » Laurent ODDOUX
Désir d'amitié ou de tendresse, élan amoureux ou agressif, mouvement secret ou partagé… De la première rencontre à la clôture, les jeux transférentiels s'invitent à chaque séance et animent en profondeur la relation entre le client et son coach.
Pourtant, bien souvent, le coach laisse à distance ou dans l'ombre cette matière précieuse, source de changement puissante lorsqu'elle est nommée et mise au travail. À distance, par peur sans doute de ce qui surgit en lui et se trouble alors.
Et dans l'ombre, par interdit peut-être ; car le désir est souvent réduit à la sexualité et reste un tabou en coaching. Ainsi, rares sont les écoles pour comprendre ces élans ou ces répétitions familières qui parlent de défenses ou de manques, d'histoires inachevées et de besoins essentiels du client.
Rares aussi les espaces pour s'initier à l'art de démêler ce qui se joue en soi et en coulisse, contagion émotionnelle ou réveil d'une mémoire ancienne et personnelle.
Alors, comment reconnaître ces jeux implicites ? Quel cadre pour les mettre en mouvement et ainsi les dénouer avec chaque client ? Jusqu'où utiliser ses résonances personnelles dans ce travail ?
Si ces thèmes font écho à vos envies de l'été, Marie-Pascale MARTORELL et moi vous invitons à un atelier inédit et sans tabous le mercredi 23 juin après midi.
« Je souhaite la bienvenue à chacune et à chacun. Et, plutôt que le tour de parole rituel, avec pedigree personnel ou météo du jour, je vous propose de commencer cette matinée dans le silence. Un silence intérieur pour se rencontrer. Se rencontrer soi, par le détour de l'autre. Et rencontrer l'autre, par le détour de soi.
Alors, je vous invite à vous lever. Puis sentir vos pieds posés sur le sol, bien à plat, comme un ancrage dans la terre. La tête vers le ciel, comme reliée par un fil invisible, sans forcer. […] »
C'est ainsi que j'ai aimé commencer cette nouvelle journée NLPNL sur le thème « L'outil du coach, c'est le coach ». Un atelier animé comme une promenade avec des rituels empruntés à d'autres tribus.
Une nouvelle journée pour expérimenter !
L'atelier d'hiver « L'outil du coach, c'est le coach ! », organisé par Andrée Zerah, était généreux d'expériences et d'imprévus, d'émotions et de découvertes, en groupe, en duo ou en soi ! (des retours sur cette journée en groupe de pairs : ici.)
Aussi de nombreux participants ont-ils eu envie de poser un pas plus loin pour aller à la rencontre de leurs ressources créatives et singulières dans l'art d'accompagner. Comme un cheminement vers soi.
Alors rendez-vous le jeudi 8 avril pour un autre atelier pratique et didactique.
Des séances en face à face. Chacun à sa place. Sans élan ni contact, sans geste ni mouvement.
Pourtant, émerge parfois l'envie de se mouvoir dans l'espace, de mettre en figure ce qui ne se dit pas encore. Une envie timide alors, retenue par un protocole clinique ou une technique sans âme, comme pour se protéger. Se protéger de quoi ? de l'autre ? de soi ? de l'inattendu qui pourrait surgir et changer alors le cours de la séance ?
Voici en en primeur les prémisses d'une création particulière pour la collection printemps-été 2010.
Une contribution à une nouvelle œuvre collective entre coachs et thérapeutes. Un écrit que j'ai envie d'intituler : Qu'y a-t-il au fond des yeux d'un superviseur ? Supervision ou super–pulsion !
L'esprit, les objectifs, les modalités pratiques et le calendrier 2010 pour cet espace ressource que j'aime animer une fois par mois depuis cinq années.
Réservé aux coachs qui aiment se développer en groupe de pairs, cultiver leur singularité et pratiquer ce métier comme un art ;-)